L'église de Parmilieu On estime que sa construction a débuté à la fin du XVIe siècle. L’église est placée sous le vocable de Saint Pierre et Saint Paul.
Au début du XVIIe siècle, l’église est très pauvre et possède très peu d’objets de culte. Cette situation évoluera positivement au cours du siècle notamment grâce à la reprise des chapelles latérales rendue possible par le curé de la paroisse en 1666, Pierre Mugnier de Boulieu.
En 1801, le Concordat (traité entre la République française de Bonaparte et le Saint-Siège de Pie VII organisant les relations entre l’Etat et les religions) réduit considérablement le nombre de paroisses. Parmilieu se retrouve dès lors rattaché à la paroisse d’Amblagnieu. L’église de Parmilieu souffre de cet abandon puisque la population doit désormais se rendre à Amblagnieu ou à La Balme pour certains sacrements notamment les baptêmes.
La municipalité va donc demander en 1829, que son église soit érigée en succursale afin que l’Etat puisse en assurer la charge financière. Cette demande n’aboutira qu’en 1846 ! Durant ces années transitoires, c’est la population qui, à partir de 1831, financera l’affectation d’un prêtre à Parmilieu.
L’église reste néanmoins un édifice sous-dimensionné : selon un rapport de visite de l’évêque de 1856, un tiers de la population n’a pas accès aux offices par manque de places. Aucun agrandissement ne sera pourtant réalisé, faute de moyens financiers.
En 1869, la veuve de Joseph Allardon va honorer une promesse faite à son mari et fait un don qui va permettre l’achat d’une horloge monumentale.
En 1871, l’état de l’église est enfin jugé satisfaisant ! Elle a alors l’apparence qu’on lui connait aujourd’hui : 24 m de long pour une largeur de 5 m, selon une disposition en croix latine avec deux chapelles. Elle dispose d’un maître-autel en bois verni et doré ainsi que d’une quantité importante d’ornements sacerdotaux.
Pourtant, de nouveau, en 1901 son état va être jugé alarmant et dangereux. Après une mise en demeure de la municipalité en 1909, des travaux de sécurité vont être effectués. Il faudra néanmoins attendre la dernière grande restauration des années 1970-80 pour que l’église parvienne à l’état qu’on lui connait.
En 1976, une nouvelle cloche baptisée « Clotilde » est installée. Elle inspirera même le poète G. Clopeau :
« Ame de bronze du clocher
Qui nous appelle à la prière
Dans l’accueillante nef de pierre,
Aux sons de tes proches voisines
Porcieu, Charette, Montalieu,
Mêle la voix de Parmilieu
Par-dessus combes et collines. »
En 1801, le Concordat (traité entre la République française de Bonaparte et le Saint-Siège de Pie VII organisant les relations entre l’Etat et les religions) réduit considérablement le nombre de paroisses. Parmilieu se retrouve dès lors rattaché à la paroisse d’Amblagnieu. L’église de Parmilieu souffre de cet abandon puisque la population doit désormais se rendre à Amblagnieu ou à La Balme pour certains sacrements notamment les baptêmes.
La municipalité va donc demander en 1829, que son église soit érigée en succursale afin que l’Etat puisse en assurer la charge financière. Cette demande n’aboutira qu’en 1846 ! Durant ces années transitoires, c’est la population qui, à partir de 1831, financera l’affectation d’un prêtre à Parmilieu.
L’église reste néanmoins un édifice sous-dimensionné : selon un rapport de visite de l’évêque de 1856, un tiers de la population n’a pas accès aux offices par manque de places. Aucun agrandissement ne sera pourtant réalisé, faute de moyens financiers.
En 1869, la veuve de Joseph Allardon va honorer une promesse faite à son mari et fait un don qui va permettre l’achat d’une horloge monumentale.
En 1871, l’état de l’église est enfin jugé satisfaisant ! Elle a alors l’apparence qu’on lui connait aujourd’hui : 24 m de long pour une largeur de 5 m, selon une disposition en croix latine avec deux chapelles. Elle dispose d’un maître-autel en bois verni et doré ainsi que d’une quantité importante d’ornements sacerdotaux.
Pourtant, de nouveau, en 1901 son état va être jugé alarmant et dangereux. Après une mise en demeure de la municipalité en 1909, des travaux de sécurité vont être effectués. Il faudra néanmoins attendre la dernière grande restauration des années 1970-80 pour que l’église parvienne à l’état qu’on lui connait.
En 1976, une nouvelle cloche baptisée « Clotilde » est installée. Elle inspirera même le poète G. Clopeau :
« Ame de bronze du clocher
Qui nous appelle à la prière
Dans l’accueillante nef de pierre,
Aux sons de tes proches voisines
Porcieu, Charette, Montalieu,
Mêle la voix de Parmilieu
Par-dessus combes et collines. »
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